Communauté Avatar de James Cameron, avec Forum Avatar pour Fan

Cette histoire invraisemblable commence dans la petite cité elfique de Ceris, dans la foret de 30.000.000 hectares du Weldenvarden. Anxylian, un très jeune mage elfe qui avait a l'époque 19 ans et venait de finir ses études dans leur capitale Ellesméra, venait d'être affecté à une mission d'espionnage. Cette mission visait à découvrir pourquoi les humains débordaient si soudainement d'énergie tout d'un coup. Son père, un vieil elfe mal dégrossi et hautain fut lui aussi envoyé là-bas. Ils eurent bien du mal à juste accéder sur l'océan atlantique, et plus encore a rentrer dans leur capitale qu'ils appelaient "Uèssa" (U.S.A.). Une fois à l'intérieur, ils traversèrent de nombreuses contrées désertiques et truffées de radiations et de toxines. Enfin, ils espionnèrent les dits humains pendant près d'un an. Ils apprirent des esprits des hommes qu'ils avait trouvé une planète habitant une source de vie : Pandora . Pendant le voyage du retour, Anxylian et son père eurent une longue discussion :

« Père, il serait surement bon d'aller rencontrer ce peuple très proche du nôtre qu'ils appellent les na'vis. Moi, je dis que...
-Bah, ce sont des fariboles mon fils, combien de fois devrais-je te le répéter !?
-Et si c'était vrai ?
-Non ! Ces soldats avaient surement trop bu, voilà tout !
-Dans ce cas, père, ce serait des centaines de soldats et de scientifiques qui auraient bu. Ils étaient sobres. Je crois que c'est plutôt vous qui avez un peu forcé sur le faelnìrv que vous avez emporté en douce.
-FOUTAISES !! Je n'ai rien apporté du tout ! Et même si c'était vrai, il n'est pas question qu'un membre de ma famille pose un seul orteil sur cette maudite planète et ses habitants barbares, tu m'entends !?
-Mais...
-IL N'Y A PAS DE MAIS !
-Écoutez moi père, nous avons surement beaucoup a apprendre de ce peuple qui respecte la nature autant et même peut être plus que nous ! Voilà bien le défaut de plusieurs elfes ! Toujours arrogants, toujours obtus ! Je n'ai rien à faire de vos interdictions, père ! Je suis un mage, et comme tout les mages, je prône le savoir et la connaissance avant tout ! Rentrez tout seul chez nous, père, et dites à la reine Islanzadì que je pars sur Pandora en tant qu'émissaire et tenterai de souder une alliance entre nos peuples cousins ! Adieu, père ! «

Et c'est ainsi qu'Anxylian partit pour la planète du peuple Omaticaya. Ils se fit passer pour un humain, réussit à embarquer sur une navette spatiale, se fit cryogéniser et se réveilla sur Pandora. Une fois arrivé, il nota avec stupéfaction la richesse et la plus qu'abondante faune et flore. Les hommes lui avaient appris qu'une fois arrivés, des pilotes d'avatars, des scientifiques transmutés dans des corps de na'vis, seraient déployés. Anxylian y vit ici une chance indéfectible de communiquer avec ce peuple très proche du leur. Il assomma un de ces pilotes, prit son apparence par magie, prit aussi ses vêtements et son badge, sans oublier d'absorber une quantité importante de ses souvenirs (notamment la langue na'vi) et s'en débarrassa définitivement. Une fois a l'intérieur de son nouveau corps, il constata avec déplaisir qu'il n'avait plus accès aux énergies des arcanes, les seules choses qu'il savait désormais faire étant les vagues d'apaisement et les transmissions de pensées, de bien maigres capacités en regard de ce qu'il savait faire dans son ancien corps. Sans leurs pouvoirs, la plupart des mages perdent la tête, mais que ce n'était en fin de compte qu'un bas prix a payer pour le savoir. Il prit rapidement contact avec les différents chefs de tribus (olo'eyktans) à qui il apprit l'affection pour les elfes de la nature. Il leur apprit qu'ils venaient de la même planète que ces maudits humains, mais qu'ils ne se mêlaient pas, ou alors très rarement a eux. Il leur apprit qu'ils souhaitaient souder une alliance. Les chefs de clans acceptèrent tous sans hésitation. De retour dans son vrai corps, il contacta Islanzadì avec toute la puissance de son âme, et lui dit qu'ils avaient trouvé un terrain d'entente. Ensuite, il retourna dans son avatar et brûla son vrai corps à distance et magiquement, comme cela il serait intégré a tout jamais dans ce corps qu'il adorait maintenant, et ne serait plus vulnérable à la R.D.A. . Il apprit ensuite beaucoup de choses par rapport aux us et coutumes na'vis. Vient ensuite la Grande Guerre. Sous les ordres du Toruk Makto Jake Sully, qui comme lui avait conclu une alliance avec ce peuple fascinant, il anéantit de nombreux soldats et détruisit 3 vaisseaux a lui tout seul. Pendant cette bataille plus que mémorable, il fut lourdement blessé a la jambe. Il dut attendre de TRÈS longs mois (Quatorze, environ) avant d'être de nouveau valide. Chaque jour, dans son lit, il recevait la visite de nombreux na'vis, qui le prenaient pour une aide venant d'Eywa, bien que le jeune Avatar essayait de leur dire le contraire. Il coula des jours paisibles en attendant la venue des elfes sur cette magnifique planète qu'est Pandora. Lassé d'attendre, après deux ans de répit, il se dit que peut être les siens l'avaient abandonné, ou pire, que son père avait raconté une mauvaise versions des faits ! Il se renferma donc petit a petit dans son propre monde, son propre sanctuaire intérieur. Pour ne pas sombrer dans la mélancolie, il gardait de bonnes vieilles habitudes qu'il avait pris quelques ans plus tôt, à l'époque où il était encore elfe. Parmi elles, la méditation, les longues discussions avec les nantangs et les yeriks qui étaient désormais ses amis, la nage avec les poissons... C'est aussi à cette époque qu'il apprivoisa son ikran. Il le nomma Krysthias, ce qui signifie Guerrier de la Fureur Céleste. Au cours d'une de ses séances de méditation, une fois en parfaite symbiose avec l'ensemble des forces grandioses qui formaient la nature, il ressentit une défaillance, une dissonance dans le calme des bois alentours. Il s'arrêta donc et s'élança vers ce qui croyait être un animal blessé. Quel ne fut pas sa surprise quant il vit une jeune na'vie allongée près des montagnes... Il lui trouva un petit air familier, mais il ne s'attarda pas sur la composition de son visage. Elle était agonisante. Il la mit immédiatement sur son épaule et la transporta vers son petit coin secret : une clairière inconnue de tous traversée par un ruisseau très pur. Il la déposa dans sa demeure naturelle, qu'il avait construite en chantant l'arbre pour lui demander qu'il pousse de façon à former une maison en bois vivant. Au moment où il alla chercher ses bandages et sa pâte antiseptique, il se dit que ce visage lui était familier, et qu'il avait vu maintes et maintes fois en réalité. Il soigna donc sa rescapée de sa blessure au thorax. Elle avait dû s'empaler sur une branche pointue, car les dommages internes étaient énormes, le foie étant atteint. Alors, Anxylian sut que les simples soins ne lui suffiraient pas, qu'elle mourrait dans la nuit malgré toutes ses mesures. Il pria donc Eywa du crépuscule à l'aube, et Eywa, comme toujours, exauça ses prières. La jeune na'vie survécut, et son état s'améliora de jour en jour. Mais elle ne se réveillait toujours pas, comme si elle attendait la guérison totale de son corps. Il chercha donc dans l'esprit de sa blessée. Curieusement, elle arrivait à protéger sa conscience, c'était comme si elle était emprisonnée dans une balle de béton armé de titane poli et imbibé d'huile. Cette concentration, il ne l'avait rencontrée que chez un seul être...

<< Loïvissa...>>

A ce moment, elle ouvrit les yeux. En le reconnaissant aussi, par sa mine ébahie qui n'appartenait qu'à lui, elle eut un doux sourire.

<< Enfin, je te retrouve... Anxylian...
- ... Mais... Comment ?
- Tu me manquais atrocement, je suis donc venue moi aussi, par le même chemin que toi...
- Oh, Loïvissa, tu m'as tellement fait souffrir, loin de toi, la vie n'avait quasiment plus aucun sens...
- Il en était de même pour moi, je suis si heureuse de t'avoir retrouvée. >>


Les mots ne suffisant plus, ils s'embrassèrent tendrement, comme si c'était leur premier baiser. Ils s'étaient rencontrés il y a 17 ans auparavant, lors de leurs études en magie dans la cité d'Osilon, avant qu'ils ne soient dûrement séparés car Loïvissa avait choisi la voie druidique, tandis qu'Anxylian avait choisi la voie des arcanes pures. Ils se voyaient toutes les fins de semaine, et pendant leurs vacances, car ils s'aimaient éperdument. Ils ne s'étaient malheureusement pas vus depuis les 18 ans d'Anxy, car son père - encore lui - s'opposait violemment à leur union. Tout en repensant à ces souvenirs, Anxylian se remémora une chanson qu'il avait composée pour elle.

Eldrimner,
O Loïvissa nuanen,
Dautr abr deloï.

Abr berundàl vandr-fohdr,
Eka laufsblabladar ekar undir,
Eom köna indauthleikr...

Eldrimner,
Nen ono wehonataï,
Medh, solus un thringa.

Abr berundàl vandr-fohdr,
Eka laufsblabladar ekar undir,
Eom köna indauthleikr...

Eldrimner,
Un fortha onr feon-farah
Wiol alr sjon

Abr berundàl vandr-fohdr,
Eka laufsblabladar ekar undir,
Eom köna indauthleikr...

<< Tu t'en souviens toujours ?
- Un homme n'oublie jamais l'amour qu'il éprouve pour une femme.
- Et une femme n'oublie jamais l'amour qu'elle éprouve pour un homme.
- Je t'aime Loïvissa, de tout mon cœur, de toute mon âme, je ne veux plus jamais être ainsi séparé de toi.
- Tu sais bien que je le veux pareillement. Unis, jusqu'à ce que la mort nous sépare, comme le disent les humains.
- Espérons que ce jour maudit n'arrivera pas.
- Nous ne sommes plus immortels, tu le sais aussi bien que moi...
- Eh bien, espérons qu'il n'arrivera pas de sitôt. >>

[couleur=#400080] Deux mois plus tard, ils s'accouplèrent et eurent un enfant, ils le nommèrent Jerald. Malheureusement, le destin semblait contre cette famille, car deux ans après la naissance de Jerald, Loïvissa fut tuée par un général de la R.D.A qui était revenue. Anxylian ne voulait pas montrer à son fils le chagrin qui lui assombrissait lourdement le cœur, pour ne pas le traumatiser. Mais tous les soirs, Anxylian répétait cette chanson qu'il n'avait jamais oubliée.

Eldrimner,
O Loïvissa nuanen,
Dautr abr deloï.

Abr berundàl vandr-fohdr,
Eka laufsblabladar ekar undir,
Eom köna indauthleikr...

Eldrimner,
Nen ono wehonataï,
Medh, solus un thringa.

Abr berundàl vandr-fohdr,
Eka laufsblabladar ekar undir,
Eom köna indauthleikr...

Eldrimner,
Un fortha onr feon-farah
Wiol alr sjon

Abr berundàl vandr-fohdr,
Eka laufsblabladar ekar undir,
Eom köna indauthleikr...


Depuis la mort de sa bien aimée, Anxylian se jura d'être un père exemplaire et le montra chaque jour qui suivit le drame. A ses dix ans, Jerald trouva une ancienne ruine contenant toute une bibliothèque remplie à craquer de livres. Il le dit bien sûr à son père, qui adorait plus que tout la lecture. Il découvrit aussi que ces livres étaient écrits pour la plupart en na'vi, mais beaucoup étaient, étrangement écrits en ancien elfe, datant d'avant la chute d'Illirea. Avec tout ce savoir réunit en un seul endroit, il jugea bon d'apprendre à son fils comment écrire mais surtout lire. Son fils, qui avait décidément hérité de ses gènes, apprit à lire en une semaine seulement. Anxylian lut quasiment tous les livres, car il devait penser a ramener du gibier pour son fils, étant lui même végétarien, et Jerald les lut absolument tous. Quand les na'vis l'apprirent, ils bannirent immédiatement Jerald du kélutral, au grand désespoir de son père. Il se réfugia donc dans les ruines qu'il avait trouvé, et ne recevait de visite que de son père lui même, mais aussi de ses amis : Ipax 321, Toruk 56, Masq, Link, Aywanin... Après un peu plus d'un an à relire tous ses livres, Jerald refusa un jour de manger de la viande. Anxylian se dit alors : " Tiens ? Onze ans et déjà un signe de sagesse ? " Au fil des années, Jerald devenait de plus en plus serein, c'est aussi à cette époque qu'il apprit à chanter pour les arbres et a méditer pour se détendre. Jerald, au contact de tous ces livres, se mit à changer : lui qui était si sautillant, impulsif et manquant parfois de délicatesse, il devenait de plus en plus sûr de lui, était beaucoup plus délicat, mais surtout, il était beaucoup plus sérieux. Il pratiquait aussi de plus en plus la magie, à tel point qu'à un moment, elle était devenue une seconde nature dans sa personnalité, comme son père à 20 ans. Mais la comparaison s'arrêtait là. Jerald maîtrisait parfaitement la magie, ce que son père au même âge était incapable. Il savait peut être faire moins de choses que lui en ce qui concernait les arcanes, mais son fils avait une puissance qui tenait de l'incroyable. Un jour, son père lui demanda comment il réussissait à avoir accès au flux de pouvoir. Jerald éclata de rire, et lui montra un livre épais comme quatre.


<< Il suffit juste de lire ce livre, qui est rédigé dans un mélange du langage du peuple gris, et dans le langage des na'vis. Ces gens gris voyaient l'avenir, et ils ont écrit ce livre de façon a ce que les gens comme nous puissent pratiquer la Vanyali*.
- Et dire que la solution était sous mes yeux...
- Je dois par contre te mettre en garde, la magie utilise...
- ... Autant d'énergie que par un moyen normal, et plus la distance du sort est grande, plus on a besoin d'énergie, comme un javelot qu'on lance, Je sais, j'ai été a l'école de magie bien avant ta naissance, figure toi.
- Ah bon ? Tu ne m'as jamais dit ça ! Tu peux me le raconter ? >>

Anxylian eut un sourire. C'était malgré tout encore un enfant

<< Pas tout de suite, pas tout de suite. Mais si tu veux, je te raconterais cette histoire, et je pourrais même te montrer des choses que j'ai appris là-bas, et à faire des choses incroyable même avec l'aide de tout ton pouvoir.
- Et ce sera quand ?
- Quand j'aurais fini le livre. Alors arrête de me parler, tu me retardes encore plus.
- Mais tu mets un temps fou à lire !
- Oui, mais je n'ai besoin de lire un livre qu'une seule fois. Et puis, je te ferais dire que je ne suis pas si lent ! Demain soir, je l'aurais fini. Il ne fait que 5000 pages environ. C'est pas si terrible. J'ai déjà dévoré plus gros.
- Alors, bonne lecture papa !

La lecture se révéla forte intéressante. En lisant ce livre, Anxylian remarqua alors dans son esprit plus complexe qu'avant une petite lueur qui n'était pas au même endroit qu'avec son esprit d'elfe. Immédiatement, il y accéda, et accéda du coup au flux magique. Il se sentit aussi puissant qu'auparavant. Il voulût tester ses capacités, car il se croyait un peu rouillé depuis le temps. Il visa donc une sorte fougère en mauvais état et prononça : " Lìfa, un skolïro du deloïs fra deyja "** . Aussitôt, la plante se mit a germer, a grandir, grandir, grandir, si bien qu'elle eut la taille du bâtiment. Enfin ! Le torrent arcanique coulait de nouveau à plein flots en lui ! Il ne s'était jamais senti aussi bien ! A ce moment, Jerald arriva.

<< Alors ?
- C'est fabuleux ! J'en était depuis bien trop longtemps privé !
- C'est super... Tu me montres ton savoir maintenant ?
- ... Bon, d'accord. Mais je te préviens, sois attentif, c'est beaucoup plus dur que de lire ! Il faut une grande ouverture d'esprit, ce que certains mages, d'ailleurs médiocres n'ont pas. Es tu prêt ?
- Oui, oui, oui, allez, commence !
- Toujours aussi impatient, à ce que je vois, eh bien soit, écoute bien... >>

Anxylian commença donc a lui enseigner ce qu'il savait. Au début, c'était relativement facile et l'élève commençait a s'ennuyer. Après, comme tous les entrainements, cela se compliquait ! Au départ, Anxylian lui avait donné un gobelet d'eau, l'avait rempli, avait fait de même pour lui et lui avait fait attendre 1 heure, 2 heures, 3 heures... si bien que Jerald voyait la course du soleil dans les airs. Anxy avait fait cela pour que son fils reconnaisse la valeur de la patience. Ensuite, il lui apprit le Rimgar***, une sorte de gymnastique mystique et particulièrement éprouvante, qui se divisait en 4 niveaux de difficulté. Jerald, qui n'avait quasiment jamais fait d'exercice physique, était en sueur à la fin du premier niveau. De plus en plus dur, Anxylian avait exigé de lui qu'il s'entraine à écrire le Lìduen Kvahedï, la plus poétique de toutes les écritures. Inutile de vous dire que l'apprentissage de cette langue était extrêmement difficile. Ensuite, l'ancien mage apprit à son nouvel élève la méditation. Mais pas n'importe laquelle. La vraie. En méditant au fond de la forêt, et si on s'ouvrait correctement l'esprit, on pouvait ressentir des petites pulsations dans les bois. Toutes ces petites vies, c'étaient, bien sur, des insectes, mais aussi des micro organismes, sans oublier, bien sûr, les animaux. Enfin, après tout ceci, ils purent rentrer dans le vif du sujet. Anxylian apprit à Jerald comment tuer quelqu'un avec pas plus d'énergie que de bouger un petit doigt, comment transporter instantanément un objet d'un point a un autre, comment détecter les poisons, et comment potentialiser les forces qu'il avait appris à connaitre au cours de ses méditations. Il lui apprit ensuite à modeler l'eau a sa guise : en lui donnant des formes plus ou moins complexes, à varier la couleur ou la quantité de lumière qu'elle absorbait et à la figer à la suite de figures qu'Anxy ne manquait pas de lui imposer. Il lui apprit aussi à se libérer d'un sortilège. Il s'y prit de la même façon qu'on lui avait apprendre. Il emprisonna les jambes de son fils par magie et lui avait demandé de se libérer. Comme quasiment tous les mages quand on commençait à leur apprendre cela, Jerald prononça : " Losna kalfya iet**** ! " qui était un absolu. Cela impliquait un rapport de force direct entre eux et il n'y avait que deux résultats possibles : la réussite, ou la mort. Et la fatigue accumulée au cours de la journée par le novice se transforma en épuisement. Il aurait fallu utiliser un sort auquel il aurait pu mettre fin. Et, ultimes épreuves, il lui apprit à utiliser l'énergie des bois alentour pour utiliser un sort, et lui apprit à stocker sa propre énergie dans un réceptacle. Cela ne marchait qu'avec une gemme ou une pierre précieuse. Si il utilisait un métal, soit l'énergie se libérait, soit elle sortait comme une décharge sur le prochain qui le toucherait. Enfin, l'entrainement fut terminé. Il avait fallu 3ans pour en arriver là, mais ni ne le père ni le fils n'étaient déçus du résultat. Depuis, Jerald a trouvé son âme soeur, une jeune et belle Na'vie du nom de Veressa. Son père fut extrêmement fier de son enfant qui, à peine né, savait déjà marcher, et au lieu de crier et pleurer, baragouinait un langage obscur qui n'appartenait qu'a lui. Il n'attendait plus qu'une chose : que ces deux tourtereaux s'aiment jusqu'à la fin de leurs jours...

Leur Backgrounds :
http://www.c(...)08.htm#foot

http://www.c(...)61.htm#foot


* : Magie
** : " Aide cette plante, et protège la aussi de la mort !
*** : Littéralement: " Danse du serpent et de la grue "
**** : " Lâche mes jambes ! "