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Chapitre 1Le complot

Je suis née en hiver dans ma tribu sous le nom de Zrina-niwina.
Mon père- Txuritan est le chef de la tribu des dompteurs de l'est et ma mère est Alyara.

J'ai grandi en apprenant tout ce qu'une na'vi doit savoir.
Lors de la veille de mon 18ème anniversaire, tandis que le soleil se couchait, mon père m'annonça qu'il désirait me parler ce soir de mon avenir en tant que princesse. Je savais bien ce qu'il me dirait: il me parlerait de Tsyal, le plus vaillant soldat de toute la tribu et égoïste; il me dirait qu'il serait mon futur époux et le futur chef.

Je lui ai dit que je l'écouterais avec joie, mais qu'avant j'irai chasser. Mon père me donna son accord, et je parti donc chasser dans la forêt. Je rencontrai là bas une de mes amies. Nous parlâmes tant et tant, que je rentrais le matin.Je me couchais donc dans mon hamac, épuisée, pour dormir.


Le lendemain, c'était mon anniversaire. Je me suis réveillée à midi. Mon père m'attendait de pied ferme, et me sermonna sévèrement, puis me dit de le rejoindre ce soir pour discuter de mon avenir. Je lui fis la promesse que je viendrai.
L'après-midi, alors que je me promenais dans la forêt, j'entendis deux personnes parler de mon père.
Je m'approchais doucement pour écouter, et j'entendis les deux traitres décider d'éliminer mon père pour prendre le pouvoir du clan et de conduire la tribu à la RDA.
J'ai décidé de les sermonner. Les deux traitres menacèrent de me supprimer sur le champ; alors je me précipitais hors de la forêt.
Je décidais de m'enfuir de ma tribu. Je me mis à marcher le plus loin possible. J'arrivais dans une tribu qui m'étais alors inconnue.
Je m'avançais timidement près d'un groupe de na'vis.
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Moi: " Bonjour, je suis nouvelle et je viens d'arriver. Je suis Zrina-niwina, je viens de la tribu des dompteurs d'ikrans de la mer de l'est. Je m'enfuis de ma tribu car deux traitres veulent supprimer le chef de ma tribu, qui est mon père. Je pense que c'est trop tard...Je ne sais pas quoi faire... "
Le groupe de Na'vis : " Kaltxì ! Bienvenue dans notre clan. Ne t'inquiète pas,si tu ne sais plus quoi faire, ni ou aller, tu peux rester ici."
Moi: "Irayo."

Épuisée, je m'endormit dans un hamac.

La fin du complot

Deux jours plus tard, je rencontrais un na'vi très sympathique, qui au début était méfiant. Je lui appris à mieux se servir de l'arc. Nous nous amusâmes et nous parlâmes, et bientôt, un autre na'vi nous rejoignit. Je me montrais particulièrement désagréable avec celui-ci en disant: "C'est qui celui-là?"
Puis, nous fîmes connaissance, et quelques minutes plus tard, nous parlâmes tous les trois.
Je ne me rappelle plus très bien ce qui s'est passé ensuite, mais ce que je me rappelle, c'est que je suis allée dans la forêt. Las-bas, j'ai fait une mauvaise rencontre avec un des traitres. Il décida que je devais mourir car j'étais au courant du complot. Comme je criais, mes deux amis na'vis arrivèrent à la rescousse. Le traitre refusait de parler, alors un des na'vis présent le rendit aveugle. J'eus pitié de lui, et je demandais qu'il aie la vie sauve. Malheureusement, l'aveugle me frappa dans le dos deux fois avec un couteau, alors que j'étais sagement assise. Tandis que je grimaçais de douleur,les deux na'vis arrivèrent et maîtrisèrent le lâche. Peu après, après être soignée et pensée et après avoir bu du macara, je m'éloignais de nouveau du camp, et je rencontrais encore un traitre qui désirait la même chose que le premier. Mes deux amis arrivèrent. Je suppliais au deuxième traitre de m'épargner. Celui-ci nous dit alors que toute ma tribu avait disparue. Il y eût une longue discussion, des batailles. Je voulais en avoir le cœur net, alors je me rendis avec un de mes amis dans ma tribu, tandis que l'autre na'vi s'occupait du second traitre.
Quand j'arrivais au campement de ma tribu, je restais immobile, effrayée. Le kétural avait été brulé, des morts gisaient partout, des feux incendiaires étaient allumés partout...C'était affreux! Comme je m'approchais, j’aperçus mes parents, morts. Je me mis à pleurer, puis je me rendis au camp de la RDA, car, d'après les dire du deuxième na'vi traitre, Tsyal, le chef du complot, y était et voudrais me parler. Je pris mon courage à deux mains et je m'approchais de Tsyal.

Tsyal: Tu cherches quelque chose?
Moi: Toi!
Tsyal: J'ai une proposition à te faire.
Moi: Je t'écoute.
Tsyal: Si tu m'épouse et que tu accepte de régner avec moi, tu auras la vie sauve, mais si tu refuses...
Moi: J'accepte ta proposition...

J'avais une idée. Au moment où Tsyal ne s'y attendait pas, j'ai sauté sur lui, et je l'ai giflé. Nous nous sommes battus. Tsyal allait m'étouffer, alors je demandais à celui qui m'accompagnais de venir m'aider. Celui-ci tua Tsyal.
Sur le chemin du retour au clan de com'ava, le na'vi qui m'accompagnait me demanda si je voulais être sa sœur de sang. Je lui répondis oui, alors nous continuâmes notre chemin, après s'être serrés dans nos bras.
De retour au Kétural de Com'ava, je me demandais si je devais tout raconter à mon autre ami. Il semblait sommeiller, mais quand je m'approchais de lui, il ouvrit un œil. Je lui racontais tout ce qui s'était passé. Il fût attristé. Je me mis à pleurer plusieurs fois dans le reste de la journée. Mes deux amis na'vis me consolèrent. Quelques instants plus tard, un autre na'vi arriva. C'était un guérisseur. Nous nous présentâmes. Comme mes blessures saignait de nouveau, mes amis me soignèrent et me refirent un bandage. Nous bavardâmes un instant, puis, comme le sommeil me gagnait, je pris congé d'eux, et je me rendis dans mon hamac, pour dormir.

Un nouveau départ

Une nouvelle vie commençait pour moi. Je n'était plus qu'une survivante de la tribu des dompteurs d'ikrans de la mer de l'est. Pour moi, je faisais partie de la tribu de Com'ava, même si je n'étais pas encore vraiment une membre.
Je décidais de changer de coiffure et de vêtements. J'enlevais mes longues tresses, je retirais ma frange, j'ajoutais une belle plume à ma coiffure, puis je m'habillais simplement: un pagne marron, un haut marron. Fini les caprices de princesse, j'allais devenir plus simple et moins narcissique.





Un jour, en fin d'après-midi, je vis un autre na'vie. Je ne la connaissait pas. Nous nous présentâmes. C'était une passionnée d'ikrans. Nous parlâmes un moment, puis, nous décidâmes de chasser. à vol d'ikrans.
Ma nouvelle connaissance me montra où étaient les ikrans. Il y en avait plusieurs. Elle appela le sien.
Il s'apellait quetzalcoatl et il était très beau et amusant. Je le caressait à maintes reprises et il ne bronchait pas. Comme je n'avais pas encore mon ikran, n'ayant toujours pas fait mon iknimaya, j'allais chercher un pa'li.
Nous partîmes toutes les deux, mon amie et moi.

Le soleil était presque couché, et il faisait très beau. Ma nouvelle amie m'avait appris qu'une femelle toruk avait eu un petit. Je m'étais renseignée à ce sujet.
Soudain, Mon amie poussa un cri d'alerte, et nous aperçûmes un magnifique toruk. Il était plutôt menaçant et furieux. Il était tout près de mon amie.

La na'vie: C'est pas vrai il y a encore un leonopteryx et celui-là n'est pas le même que d'habitude! A mon avis il profite du fait que la femelle s'occupe de son petit pour venir ici.
Moi: Je m'en occupes!
La na'vie: Fais attention ! Je crois qu'il y a la maman qui arrive et je te déconseille de t'interposer entre une bagarre de leonopteryx et je crois que l'on ne peut pas faire grand chose dans ces conditions!

Je n'écoutais pas les avertissements de mon amie, quelque chose en moi me disais que je devais maîtriser cet animal.Je me rendis sur une falaise et j'attendis que l'animal arrive à ma hauteur.

La na'vie: Attends ! Tu vas te faire tuer!

Je fis une parade na'vie.
J'entendais au loin la na'vie me rapeller à l'ordre, mais c'était plus fort que moi.
Je sautais dans le vide, en direction du dos du toruk.
J'atterris sur son dos. L'animal bougeait violemment et cherchait à me jeter dans le vide. Je sentais que je glissais de son dos, et j'essayais de remonter, désespérément. Les minutes étaient comptées. Je pris mon courage à deux mains, et d'un élan, je m'agrippais fortement au toruk. Je fis le lien, et je grimpais sur son dos, d'un bond. L'animal agité devint calme. Je levais mon bras en signe de victoire en direction de mon amie. Celle-ci s'exclama: "waouh! Toruk Makto?!"
Je mis du temps à me souvenir ce qu'un toruk makto était. Quand je réalisais ce que c'était réellement, je fus étonnée: moi, toruk makto? Alors que j'étais une fille?

Nous retournâmes au kétural.
Nous bavardâmes et nous mangeâmes.
Quelques instants plus tard, nous nous endormirent.