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- Elesnar - le 19 Nov. 10 à 18h23

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Par LEFEVRE benjamin

Chapitre 1 : Bien chez soit

Dans la ville de Sowen, Dryan contemple le fort depuis la fenêtre de sa petite chambre, il avait regardé la veille les soldats s'en aller, il avait demandé à son père pourquoi, mais celui-ci ne répondit rien. Sa maison était construite sur une base de pierres qui supportait de solides poutres de bois reliées par un mortier bon marché, cette maison était battit sur trois étages, dont le rez-de-chaussez est occupé par l'atelier de forge. Dryan, un enfant de 16 ans, il avait une chevelure brune, des épaules bien bâties à cause du transport de lourds coffres d'armes de son père, habillé d'un pantalon de cuir marron, légé et usé, d'une chemise en lin jaune sous un gilet de cuir. Et maintenant ne sais plus quoi faire depuis que l'école a fermée ces portes pour une résson qu'il ignorait, tandis que le soir tombe, tout le monde dans la rue reste silencieux, bien plus que d'habitude.

Il sait que le lendemain il est envoyé à la caserne, une chose que il espérait depuis toujours, en effet, il avait toujours rêvé de devenir un grand chevalier, son père qui avait maintenant fermé son atelier et devait préparer le repas, c'était vite fais, il prit un gros cartier de viande de boeuf et le mit à cuire au dessus du feu de la salle à manger du deuxième étage.

Dryan ! Viens manger !

Dryan descendit les escaliers et prit un morceau de viande bien cuit, puis s'installa à la petite table au milieux de la pièce, le couvert comportait pour assiette une tranche de pain, et un couteau en étain, tandis que son père picorait sa viande, Dryan curieux voulus se renseigner.

Père, sa va ?
Bien sûr...

C'était à l'évidence une famille où les gens ne se parlais pas beaucoup, une famille au passé sombre, pauvre, au passé mystérieux, mais il n'abordaient jamais ces genres de sujets.

Père...les gardes sont parties, pourquoi ?

Son père c'était penché sur la table, et le fixait de son regard bleu.

Ils sont parties car d'après les rumeurs, la guerres est proche...
La guerre ? ! S'exclamait-il.
Oui d'après la rumeur, depuis que le roi à perdus sont fils aîné, son autre fils moins âgé voulais reprendre le pouvoir...
Mais qui c'est ? Interrogea le cadet.
Drassav Elesnar...Il a fait de nombreuse conquêtes notamment l'exploration et la conquête des terres maudites avec les montagnes noires, et tout cela dans le seul but de montré que il est digne de reprendre la direction du royaume.

Son père venait de finir sa part de viande et jeta un coup d'oeil à sa montre en argent qu'il avait fourré dans une poche de son pantalon couvert de suie.

Tu a vus l'heure ? Au lieu de me poser toutes ces questions tu devrais monter aller dormir, tu a une bonne journée demain !
D'accord papa...
Oh attend moi un peu !

Dryan étais déjà éloigné en s'essuyant la bouche avec sa manche, puis il déposa les couverts d'étain dans l'armoire qui était au fond de la pièce. Son père remonta de son atelier, Dryan regardait se que il tenait, attrapa au vol le paquet qu'on lui avait lancé.

Mais...c'est une ?
Une épée, tu en aura besoin !

Dryan n'en revenait pas, il avait toujours voulus une épée mais il n'avais jamais demandé à son père de lui en forger une, il se demandait bien quand son père l'avait confectionnée, mais à l'évidence elle étais neuve.

C'est magnifique papa ! Merci ! Merci beaucoup !
Se n'est rien Dryan ! Dit-il avec un petit rire en l'accueillant dans ces bras.

Aller file te coucher ! Aller !
Bonne nuit papa !

Puis il monta en haut de l'escalier l'arme à la main et une bougie dans l'autre, manipulant avec respect se dont qui lui a été fait, un de ses rêves c'était déjà réalisé, même si il n'était pas encore chevalier il détenait maintenant une épée, ce qui était déjà pas mal. Dryan parcoura le couloir séparant l'étage en deux avec d'un coté la chambre de son père et de l'autre sa chambre, elle n'est pas très grande, aménagée d%u201Dun petit lit confortable, d'une armoire, et d'un tabouret en guise de table de chevet, il déposa la bogie sur le tabouret avant de sortir l'arme de son fourreau.

La lame était d'un grand éclat, assez longue, le pommeau représentait une queue de dragon, et le corps du dragon était en cuir,enroulé sur lui comme un serpent fessait la poignez, puis les ailes fusaient la garde de l'arme, la tête étais incrustée dans la lame, un creux dans le long de la lame permettait de sortir l'épée plus facilement, le fourreau étais fait à l'intérieur de cuir et reposait sur sue couche de métal argenté tiré vers le bleu, Dryan fasciné essaya l'arme et de se fait égratigna le plancher de bois, se fit une coupure à l'index et coupa en deux sa bougie, il dût alors trouvé son lit dans le noir et s'endormit avec l'arme sans se déshabiller.

Chapitre 2 : Les rues

Le matin arrive à la fenêtre de Dryan, mais il en faut plus pour le réveiller. Son père frappait de son poing à sa porte comme si c'était une enclume, Dryan bien que mal réveillé et paresseux se leva prendre un petit déjeuné comme il a l'habitude.

Dryan ! Faut que tu te dépêche !
Sa va j'arrive. Marmonnant entre ses dents.
C'est à 8 coups que tu doit être là bas !
J'y serais ! Je connais le chemin !

Dryan se lava le vissage avec une bassine d'eau froide et en profiter pour se réveiller totalement, après s'être essuyé avec le long de sa manche il sortit de sa chambre l'épée à la main pour descendre les deux étages où sont père venait de descendre, très tôt le matin il devait tout le temps aller chez un marchand afin d'acheter la nourriture de la journée et exécuter son travail de forgerons.

Dryan mangea quelques morceaux de viandes qui restait du repas d'hier, ensuite, il se dirigea vers l'atelier, au bruit de métal frappé durement c'était simple de deviner que son père travaillait déjà, en ces temps-ci il se creva à la tâche comme à son habitude, mais c'était différent, il travailla plus vite que jamais.

Le fils prit une pomme et la fourra dans sa besace qu'il noua à sa ceinture et attacha son épée sur sa hanche gauche, après il sortit par la porte de derrière pour déboucher sur une petite ruelle en pente, là où en général on stockait les poubelles. Il remonta l'allée sombre pour se mêler à l'agitation de la rue.

Large de dix mètres elle est bordée par les haute maison du bourg, où les ateliers d'artisans et de marchands en tout genre commence à ouvrir. C'est aussi quand sonne sept coups que tout le monde sortit de sa demeure pour aller à son quotidien, très vite la rue encore noire, dû au mauvais emplacement des maisons alors que se soleil dépasse à peine de l'horizon, fût remplie de chariots, de gens, Dryan en avait l'habitude il esquiva sans peine les roulottes, chariot et calèches qui tentaient de se frayer un chemin.

Dans l'agitation il se fessa grand et fier, portant son épée le plus dignement possible se dirigeant vers le fort, sur le haut de Sowen, un ensemble impressionnant de tours rondes et carrés reliées entre elles par un mur d'enceinte aux parapets de bois solides. La caserne était normalement à coté, des fois il s'aventura là haut même si il n'en avait que rarement le temps.

Mais il s'arrêta voyant une fille traversant une petite rue pour rejoindre l'allée principale, Dryan se mit à courir après elle criant son nom parmi le reste de la foule.
Chapitre 3 : De veilles connaissances

Dryan avait du mal à la rattraper, elle était souple dans ses mouvements et avait une certaine expérience dans la course, elle tendit l'oreille puits s'arrêta cherchant dans la populace celui qui criait son nom, le freluquet à bout de souffle la rejoignit le souffle court et pût échapper entre deux profondes respiration le mot « Bonjour ».

- T'es toujours aussi lent Dryan...
- Mirande on est pas en retard !

Mirande amie d'école de Dryan, elle possède une longue chevelure brune, des yeux vert en amande, assez grande pour une fille de seize ans, elle porte tout le temps un pantalon vert fait de tissus avec une ceinture de corde, son haut est une chemise à manche courte marron et aujourd'hui un carquois à la ceinture où était rangées plusieurs flèches grossières, et des protections en cuir au bras gauche et à la poitrine, elle avait accrochée son arc dans son dos pour courir plus facilement.

- Il faut y aller quand même c'est très sérieux.
Pendant que Dryan finit de reprendre son souffle elle se tourna en face du fort et les gens s'efforçait des les contourner.
C'est à croire que ça ne te fais pas plaisir.
Bien sûr que si !
Alors pourquoi t'es aussi lent ?
C'est ma vitesse habituelle, toi tu marche pas, tu cours tout le temps.

Se faufilant à travers la foule et les chariots - se qui était assez dur à cet heure là - il parcourent un bon bout de chemin sur la pente qui devrait mener à un grands escalier qui mène au fort, mais un marchand pressé bouscula Dryan l'envoyant sur le pavé sale de la grande rue, et à peine eu le temps de se relever que les gens s'écartèrent pour laisser passer un carrosse noir bordée de rouge tirée par des chevaux noirs qui fonçait sur lui. Mirande qui avait prit de l'avance se retourna et à la vue du carrosse courra dans le sens inverse et se jeta sur Dryan lui évitant d'être emporté sous les grandes roues du véhicule, ils atterrirent sur un l'étalage d'un marchand qui devait être partit en course.

Le freluquet venait d'essuyer les goûtes de sueur avec sa manche le coeur battant contre sa cage thoracique Mirande se serrant dans ses bras comme pour le protéger, puis elle se remit debout.

T'es vraiment pas malin !
Excuse moi si se n'est pas de ma faute !
Ingrat tu pourrais me remercier.

Le freluquet se releva à son tour, il n'aimait cependant pas beaucoup que on l'aide même dans la nécessité, pour ne pas l'offenser il mit sa fierté de coté.

Merci Mirande de m'avoir sauvé de se sombre trépas.
Et bien voilà. Elle lui adressa un sourire.
Tu t'es fais mal ?
Un peu au dos mais sa va passer.

Sur ceux ils repartirent vers le fort, au bout de l'aller une route pavé tourna en spirale tourna en montant vers l'entrée du château, la pente était assez raide et n'était pas équipée de barrière appropriées, de nombreux véhiculent se sont déjà écraser en bas sur les maisons en manquant un virage, l'archère marcha à coté de Dryan en discutant ensemble.

- Ton père va bien ?
- Oui beaucoup de boulot comme d'habitude.
- Et c'est lui qui t'a fabriquée cette belle épée ? Elle désigna l'arme du menton repoussant ses mèches tombant sur son visage de la main.
- Oui je la trouve très belle. Il porta la main à son fourreau et y dégagea l'arme finement forgée.
- On dirais pas que c'est lui qui l'a fait.
- Bien sûr que si ! Regarde un peu l'éclat de la lame. Seul mon père peux faire une fine lame comme elle.
- Oui mais tu s'. Elle s'interrompit quand la cloque du marché sonna huit coups
On est en retard ! S'exclamèrent-ils.

3 Le fort

Ils s'élancèrent sur la route pavée s'enroulant autour de la crête, avant d'arriver devant une massive porte de bois haute de neuf pieds, renforcées avec des charnières de métal. Ils frappèrent de leur petits poing sur les planches, elles étaient froides et denses se qui dissipa le son, elles ont été étudiées pour compenser le choc des béliers d'éventuels agresseurs. Rien à y faire, pendant cinq minutes ils attendirent.

- Qu'est-ce que on va faire maintenant ? S'inquiétait le freluquet.
On attend, il y a toujours des tours de gardes, ils vont forcément ouvrir la porte un moment pour sortir.
Encore dix minutes à attendre, le soleil fit passer ses rayons rougeoyant derrière une tour, illuminant le ciel d'une lueur orange resplendissante qui réchauffa les deux amis y trouvant un certain réconfort. Juste à se moment là, deux gardes armés de grandes hallebardes qui se termine par un morceau de métal ressemblant à une hache surmontée d'un pic, elles étaient laides et rouillées, le long morceau de bois qui portait le métal semblait lui aussi dégradé. Les deux gaillard en armure de cuir portant des bottes de campagnes les regardes d'un drôle d'air.

Vous seriez pas en retard vous deux ? S'enquit le premier gaillard.
Comment l'avez vous devinés. Murmura la fillette.
Ils étaient certainement en train de roucouler, j'en suis sûr. Reprit le deuxième hallebardier.
N'importe quoi ! Cria la jeune fille.
Mais pas du-tout ne croyez pas ça ! Rajouta le garçonnet.

Les jeunes se sentirent gênés par cet accusation fausse proférée par les soldats, leur équipement n'était peut-être pas du plus bel éclat mais ils semblaient fort et entraînés puis ils s'écartèrent pour qu'ils passent l'épaisse porte ferrée.

C'est par là. Le second hallebardier fessa passer son arme dans l'autre main et s'y appuya pour désigner du doigt une autre grande porte encastrée dans le rempart.
Merci. Remercia la jeune archère qui avait laissée volontairement un petit ton pour montrer qu'elle était toujours vexée par la remarque .

Après les soldats refermèrent la porte derrière eux quand ils sont rentrés, la porte était verrouillée par de grosses charnières et mécanismes de fermeture en tout genre scellées aux planches. Le mur de pierre était de bel facture, au moins trois mètres d'épaisseur, la hauteur était dur à déterminer dans la cour où il ont atterrit en entrant, les tour se plaçaient sur les angles et les croisement du mur, la cour était déserte, un carré de sable qui donnait sur plusieurs portes. Les deux jeunes gens partirent dans la direction indiqué dans l'ombre des murs froid.

Il ouvrirent la porte et débouchèrent sur une plus grande cour, il n'y avait plus que une simple barrière de bois les séparant de la pente abrupte, là des enfants de leur âge étaient en armure avec des protections de cuir chacun possédant une arme différente selon les préférences, une cabane de bois longeait la cote, la cour comportait trois partie, une ensablée limité par un rebord de bois, une partie de terre avec de l'herbe, et une qui débordait sur la falaise et qui avait été équipée d'une extension au dessus du vide avec du bois.

- Vous êtes en retard ! Se moquait un futur guerrier.
- Il est presque neuf coups ! En renchérit un autre.

Ils s'étaient arrêtés pour examiner les nouveaux arrivant, lesquels se sont sentit gênés, Mirande regarda Dryan d'un oeil accusateur qui le désigna comme fautif de se retard.
Un grand homme en armure de fer l'épée à la ceinture s'approcha d'eux tenant son bras gauche enroulé un un morceau de tissus qui s'enroula autour de son cou.

Vos noms, et votre âge. Dit-il d'une voix grave, sans doute déformée à force de crier des ordres, il s'agissait forcément d'un commandant blessé il n'y a pas longtemps.
Je suis Dryan Herster et j'ai seize ans. Il examina les autres futur guerriers et le blessé à tour de rôle.
Moi je suis Mirande Duneta et j'ai également seize ans. Elle croisa les bras comme pour se réchauffer.
Vous savez vous battre ? Répondit l'homme.
Je paris que non . Ricanait un garçon dont la voix se se fit qu'a peine entendre.
Oui moi je tire à l'arc depuis longtemps avec mon père, dans les bois. L'archère porta la main à son carquois et eu un sourire fier.
Moi je manie l'épé depuis ... Il eu un moment d'hésitation regardant ailleurs et repri. Depuis au moins six ans.

L'homme les regarda un moment alors que la fillette abstenue d'une remarque sur ce mensonge, elle fixait l'assemblé de jeunes gens le visage dur.

Aller vous équipez là bas, toi mon grand laisse ton épée et va en prendre une en bois, toi ma petite va t'entraîner sur les cibles là bas. Il désigna la cabane pour le freluquet et des des cibles de pailles à l'écart du terrain d'entraînement. Ils se séparèrent donc pour obéir à se qui semblait leur instructeur, aussitôt les autres se remirent à leur combat.

Dryan entra dans la cabane, armes et armures en bois étaient rangés dans de étagères sur tout le long de la cabane humide au fond était installé une grande armoire dont les portes cassées laissait paraître les armure de métal parfois rouillées. Il prit une épée de bois assez lourde et ressortit de la cabane en laissant son épée sur une étagère en hauteur.

Il fit le tour du terrain et aperçut Mirande qui commençait déjà à décocher ses premiers traits, malgré que il n'y est pas de cible elle tira quelque part sur la cible puits s'efforçait de croire cette première flèche comme le centre, elle les a mit tous les unes à cotées des autres. A l'évidence elle était une tireuse accomplie, elle repassa donc sur le terrain ensablé pour combattre au corps à corps, à première vus elle n'avait pas d'arme pour cela, elle utilise juste son arc et ses flèches.

Rappel moi ton nom. Lui murmura à l'oreille l'instructeur par derrière, se qui déclencha chez le freluquet un froid dans le dos.
Dryan monsieur. Il le regarda du coin de l'œil et se reposa sur son épée de bois.
Alors Dryan tu va te battre avec elle. Il désigna l'archère qui parcourait du regard les autres combattants.
Je ne risque pas de lui faire mal ? S'inquiéta t-il.
Oui. Répondit l'instructeur d'un ton neutre.
Mais je ne ve'. Il fut interrompue par l'instructeur qui le poussa vers Mirande.
Aller ! Insistait-il amusé.

Il avança donc à petit pas sur le terrain ensablé évitant des coups que fessaient les autres enfants, quand elle se trouva à trois pas de lui il s'arrêta net l'observant puis se pencha pour voir son visage caché par les mèches de cheveux retombant sur le devant à cause de sa tête inclinée.

Sa va ?
Tu a mentis.
Je sais mais...

Il n'eut pas finis de trouver les mot que Mirande attrapa son arc pas le bout et fit tourner son arc à l'horizontal, elle toucha Dryan au ventre qui en eu le souffle coupé et tomba sur le dos. Ensuite il se releva maladroitement et l'archère abattit son arc sur son épaule non loin du cou se qui le remet à terre. Dryan à terre se releva vite à la vue de l'instructeur qui arriva au pas de course.

Et bien alors ? Il les examina à tour de rôle l'air stupéfait.
Monsieur j'ai... Il ne pût là encore ne pas terminer sa phrase que il reprit.
Vous voyez pas que les autres sont protégés contre les coups ?
Ah oui. Lâchât-il après avoir regarder les autres autour de lui.

Les autres étaient en effet équipé de gros morceau de cuir attachés autour de leur membres par des lainières, se qui évita tout de même pas mal de blessures, malgré de nombreuse failles semblable à celle des armures de fers, elles ne couvraient pas le bas du ventre, l'articulation des coudes et des jambes, et à l'avant bras. Ils allèrent s'équiper tant dit que Dryan se concentrait.

Dernière modification le 6 Déc. 10 à 10h52 par

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	Maître des connaissances Neywe - le 6 Déc. 10 à 10h51
	C'est mon roman. J'en suis fier, mais il reste la carte à finir, et du texte.
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♂ - pilote Avatar - Affinité Eywa : 61 - Niv. chasse : 121

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